
Stéphane Poirier est un artiste pluridisciplinaire né en périphérie parisienne.
Écrivain (romans, nouvelles, théâtre, poésie, chansons), et voleur d’images, il est régulièrement publié dans des revues pour ses nouvelles, poèmes et photographies, et a été primé à plusieurs concours de nouvelles.
Après des études de lettres modernes à L’Université Paris 8 et quelques cours de photographie, il choisit d’emprunter la route de l’inconnu, du tâtonnement, en favorisant une vision empirique de la vie, qu’il nourrit et transcende à travers ses écrits et photographies… avec quelques récréations musicales sans prétention, mélodies chantonnées en s’accompagnant à la guitare.
Dans son travail, il aime « le mot simple » et l’image honnête. Il mêle habilement réalisme et onirisme en préférant toujours l’émotion à la cérébralité.
Ses histoires, souvent empreintes d’un humour décalé, par leur impact social et l’empathie dont il fait preuve à l’égard de ses personnages, ne sont pas sans évoquer l’univers cinématographique de Ken Loach. Les petits boulots, la débrouille, et les périodes de chômage ourlées d’états borderline, avec toujours cette soif de vivre et ce besoin d’amour. Mais chez Stéphane Poirier, les intrigues font écho à l’œuvre de David Lynch, récits flottants dans des nappes de brouillard où le lecteur nage dans le mystère.
Après une traversée à la rame à contre-courant d’une trentaine d’années, il voit enfin ses efforts récompensés par la publication de son premier roman ROUQUINE, lauréat du Prix Jean Anglade aux Presses de la Citée en octobre 2021.
Écrivain (romans, nouvelles, théâtre, poésie, chansons), et voleur d’images, il est régulièrement publié dans des revues pour ses nouvelles, poèmes et photographies, et a été primé à plusieurs concours de nouvelles.
Après des études de lettres modernes à L’Université Paris 8 et quelques cours de photographie, il choisit d’emprunter la route de l’inconnu, du tâtonnement, en favorisant une vision empirique de la vie, qu’il nourrit et transcende à travers ses écrits et photographies… avec quelques récréations musicales sans prétention, mélodies chantonnées en s’accompagnant à la guitare.
Dans son travail, il aime « le mot simple » et l’image honnête. Il mêle habilement réalisme et onirisme en préférant toujours l’émotion à la cérébralité.
Ses histoires, souvent empreintes d’un humour décalé, par leur impact social et l’empathie dont il fait preuve à l’égard de ses personnages, ne sont pas sans évoquer l’univers cinématographique de Ken Loach. Les petits boulots, la débrouille, et les périodes de chômage ourlées d’états borderline, avec toujours cette soif de vivre et ce besoin d’amour. Mais chez Stéphane Poirier, les intrigues font écho à l’œuvre de David Lynch, récits flottants dans des nappes de brouillard où le lecteur nage dans le mystère.
Après une traversée à la rame à contre-courant d’une trentaine d’années, il voit enfin ses efforts récompensés par la publication de son premier roman ROUQUINE, lauréat du Prix Jean Anglade aux Presses de la Citée en octobre 2021.